Mon voyage se termine (pour tout dire je suis à l'aéroport de Sao Paolo, en transit, 5h30 d'attente, tout de même) et je réalise que je n'ai pas écrit mon traditionnel post annuel sur les toilettes visités pendant mon voyage. Je suis sûre que ça vous manque, je répare donc mon erreur.
>> Premier constat: comme pour le reste, l'Argentine ressemble plus à l'Europe qu'à l'Amérique du Sud en termes de banos. Ici, pas de toilettes publiques gardés par des madames qui distribuent du papier toilette pour 2 pesos. Non, il faut galérer pour trouver et, comme en France, les restaurants l'affichent à l'entrée : toilettes réservées à notre clientèle.
>> 2e constat : la grande différence avec la France, tout de même, c'est qu'ici, c'est PROPRE. D'une propreté irréprochable même. Ca sent bon, on n'a pas l'impression qu'on risque de contracter la peste en touchant la poignée de la porte, limite presque on oserait s'assoir (enfin faut pas exagérer non plus). Le plus souvent, il y a du papier, du savon et des serviettes pour s'essuyer les mains.
>> Contrairement au reste de l'Amérique du Sud, ici, on a le droit de jeter le PQ dans les toilettes et non pas dans la poubelle à côté. Il semblerait que le réseau des eaux usées fonctionne mieux qu'ailleurs! Le réseau des eaux tout court d'ailleurs puisque je suis fière d'annoncer que j'ai bu l'eau du robinet pendant presque tout mon voyage et que je n'ai pas (encore) été malade!
>> En fait le seul, mais le VRAI défaut des toilettes argentines, c'est que bien souvent, elles ne ferment pas à clé!! Parfois il y a un verrou, qui ne marche pas, parfois il n'y en a pas du tout, parfois il y en a eu qui, qui a été enlevé... Toujours est-il que plus d'une fois sur deux, on se retrouve à coincer la porte avec son pied tout en essayant de procéder à ce qu'on est venu faire. Et le pire, c'est que les gens qui, pourtant, donc, savent qu'il y a un risque pour que la porte soit ouverte mais qu'il y ait quelqu'un dans les toilettes, ne prennent pas la peine de frapper! Fatalement, on risque de se prendre quelques portes dans la tronche ou exposé à la vue de tous... Pourquoi cette absence de verrou? Un complot des claustrophobes argentins anonymes? Cela restera un mystère, à moins que quelqu'un ait une explication?
>> Premier constat: comme pour le reste, l'Argentine ressemble plus à l'Europe qu'à l'Amérique du Sud en termes de banos. Ici, pas de toilettes publiques gardés par des madames qui distribuent du papier toilette pour 2 pesos. Non, il faut galérer pour trouver et, comme en France, les restaurants l'affichent à l'entrée : toilettes réservées à notre clientèle.
>> 2e constat : la grande différence avec la France, tout de même, c'est qu'ici, c'est PROPRE. D'une propreté irréprochable même. Ca sent bon, on n'a pas l'impression qu'on risque de contracter la peste en touchant la poignée de la porte, limite presque on oserait s'assoir (enfin faut pas exagérer non plus). Le plus souvent, il y a du papier, du savon et des serviettes pour s'essuyer les mains.
>> Contrairement au reste de l'Amérique du Sud, ici, on a le droit de jeter le PQ dans les toilettes et non pas dans la poubelle à côté. Il semblerait que le réseau des eaux usées fonctionne mieux qu'ailleurs! Le réseau des eaux tout court d'ailleurs puisque je suis fière d'annoncer que j'ai bu l'eau du robinet pendant presque tout mon voyage et que je n'ai pas (encore) été malade!
>> En fait le seul, mais le VRAI défaut des toilettes argentines, c'est que bien souvent, elles ne ferment pas à clé!! Parfois il y a un verrou, qui ne marche pas, parfois il n'y en a pas du tout, parfois il y en a eu qui, qui a été enlevé... Toujours est-il que plus d'une fois sur deux, on se retrouve à coincer la porte avec son pied tout en essayant de procéder à ce qu'on est venu faire. Et le pire, c'est que les gens qui, pourtant, donc, savent qu'il y a un risque pour que la porte soit ouverte mais qu'il y ait quelqu'un dans les toilettes, ne prennent pas la peine de frapper! Fatalement, on risque de se prendre quelques portes dans la tronche ou exposé à la vue de tous... Pourquoi cette absence de verrou? Un complot des claustrophobes argentins anonymes? Cela restera un mystère, à moins que quelqu'un ait une explication?