Bon, ce ne fut pas sans peine, mais ça y est, je suis en PA-TA-GO-NIE!! Plus précisément, j'ai foulé le sol de Bariloche un peu avant 15h, après pas moins de 18h de bus. Un bus que j'ai bien failli ne jamais prendre puisque, sachez-le aucun café internet n'est ouvert à Mendoza le dimanche. Ni quasiment aucun magasin tout court, d'ailleurs. Mêmes les agences de voyages sont fermées. Un peu surprenant pour une ville dont la 3e ou 4e ressources est le tourisme mais enfin... Bref, donc encore une fois, c'est la gentillesse d'un Argentin qui m'a sauvée. Le photographe, lui, était ouvert. Après m'avoir fait faire le tour de la ville en m'assurant que je trouverais bien un cyber ouvert, il a fini par accepter de m'imprimer mon billet. Ouf! C'aurait été dommage d'avoir un siège réservée et de ne pas pouvoir grimper dans le bus, juste pour défaut d'imprimante...
Alors, comment dire, la prochaine fois j'essaierai d'éviter les couchettes du premier étage. J'ai passé 18 heures nauséeuses, à tenter de penser à autre chose tandis que le bus tanguait aussi sûrement qu'un bateau sur l'océan Atlantique (oui bon, j'en rajouter peut-être un peu :)). Là où le bus de ViaTac était partculièrement confortable l'autre jour, celui d'Andesmar se fait un peu vieillissant, entre les toilettes qui fuient, la télé qui marche mal et compagnie. Bref, 18 heures donc fort peu agréables dans l'ensemble (et, bien évidemment, le seul ronfleur du bus était assis juste à côté moi!), vite oubliées quelques dizaines de kilomètres avant d'arriver à Bariloche. Le paysage de pampa (on en fait tout un plat mais justement, c'est juste plat et désertique, franchement) cède peu à peu la place aux montagnes, aux lacs et aux arbres. Les pré-Andes sont verdoyantes, le bleu des lacs éclatant et, au loin, les Andes se détachent, blanches et enneigées, sur un ciel bleu azur là encore. Chaque fois que je me rapproche des Andes, c'est ce que je trouve le plus frappant, ces couleurs limpides, éclatantes. Bon, ça veut aussi dire que je vais devoir me racheter une paire de lunettes de soleil, les miennes ne suffisent pas. Mais on s'en fiche, c'est beau!
Difficile de décrire Bariloche tellement, ici, les photos parleront mieux que les mots. Une petite ville adorable, au style vaguement suisse, au bord d'un lac entouré de montagnes... C'est tout simplement magique! A l'instant où j'ai découvert la vue sur le lac depuis la terrasse de mon hostel, j'ai su que ça allait bien se passer. Il parait que les Européens délaissent cette ville parce que ça ressemble trop aux Alpes! Bon, oui il y a des montagnes, oui il y a des chalets mais à part ça... Je n'ai pas l'impression d'être à Chamonix (enfin je n'y ai jamais mis les pieds, d'un autre côté)!
Le gros avantage de Bariloche c'est qu'on peut partir seul en randonnée. Le club Andino fournit de précieux conseils, les pistes sont accessibles en bus et demain je m'en vais donc crapahuter dans les montagnes. Ah oui au fait : en ce 2e jour de printemps ici, je me suis promenée en t-shirt tout à l'heure. :-)
Coup de foudre direct pour Bariloche! |
Difficile de décrire Bariloche tellement, ici, les photos parleront mieux que les mots. Une petite ville adorable, au style vaguement suisse, au bord d'un lac entouré de montagnes... C'est tout simplement magique! A l'instant où j'ai découvert la vue sur le lac depuis la terrasse de mon hostel, j'ai su que ça allait bien se passer. Il parait que les Européens délaissent cette ville parce que ça ressemble trop aux Alpes! Bon, oui il y a des montagnes, oui il y a des chalets mais à part ça... Je n'ai pas l'impression d'être à Chamonix (enfin je n'y ai jamais mis les pieds, d'un autre côté)!
Le gros avantage de Bariloche c'est qu'on peut partir seul en randonnée. Le club Andino fournit de précieux conseils, les pistes sont accessibles en bus et demain je m'en vais donc crapahuter dans les montagnes. Ah oui au fait : en ce 2e jour de printemps ici, je me suis promenée en t-shirt tout à l'heure. :-)
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