Et hop, Le Monde par ma lorgnette reprend du service pour près de 4 semaines. Comme tous mes voyages ou presque, celui-ci a commencé par un long (TRES long) trajet : 24h de vol, avec escale à New York, Atlanta puis ma destination presque finale : Santiago de Chile! A priori, tout pour vivre 24h difficiles et même éprouvantes : retards, vols manqués, perte de bagages... J'avoue qu'au moment d'acheter mon billet (beaucoup moins cher que le vol direct évidemment, ce qui est explique ma décision téméraire de passer par les Etats-Unis), j'ai envisagé tous les pires scénario, y compris le comble du comble, un avion sans écrans individuels! Eh bien pour une fois, je n'ai que du bien à dire d'une compagnie américaine : Delta airlines a réussi les prouesses de nous offrir une bouffe comestible, de me restituer ma valise à Santiago tel que prévu et de ne pas me faire manquer mes correspondances. Et la cerise sur le gâteau : l'écran individuel avec une centaine de films au choix!
Bon, 24h de vol, c'est quand même long et j'avoue que je ne suis pas mécontente de me poser sur la terrasse de l'appartement de Priscille et Jean-Christophe, sous un soleil printanier ma foi fort agréable. Ici, dans ce quartier mi-affaires, mi-résidentiel, on se croirait presque à La Défense, en mieux, et avec les Andes en toile de fond. Grandes tours de verre, petits parcs à la pelouse digne d'un gazon anglais... On est loin du cliché du sud américain avec son poncho coloré et son ocarina!
Un petit tour dans le quartier puis dans la partie historique confirme cette impression d'occidentalité, même si l'on devine très vite une société à deux vitesses, comme en témoignent les quartiers excentrés et très "bidonvilles" que l'on croise en arrivant de l'aéroport.
Pas le temps de souffler beaucoup : ce mercredi matin, départ à l'aube pour notre petite escapade andine. Direction : Calama, dans le nord du Chili, au coeur du désert d'Atacama, le plus aride au monde, ouis mesdames et messieurs, même plus aride que le Sahara, c'est dire! Et ça se remarque tout de suite à la descente d'avion : pas un brin d'herbe ne pousse sur cette terre dure, sèche et caillouteuse. Un paysage certes aride mais pourtant magnifique et majestueux, tout de montagnes découpées, de volcans et d'un ciel bleu limpide. Paysage que nous avons largement le temps d'admirer puisqu'il faudra tout de même 1h au loueur de voiture, et malgré une résa faite la veille, pour nous louer une voiture. Et encore! Pas celle qu'on avait commandée!
Une petite heure de route plus tard, nous posons nos valises à San Pedro, le petit village au coeur du désert d'où partent toutes les excursions. Rues en terre battue, éclairage minimal, restos de bric et de broc : cette fois c'est sûr, on n'est plus à Santiago!
Après un repas requinquant, nous décidons de nous attaquer à la vallée de la Mort (bin oui, nous sommes courageuses!) et à la vallée de la Lune. Le véritable challenge consiste à trouver ces endroits puisqu'apparemment, les panneaux de signalisation ne constituent pas une priorité ici...Bref, les paysages décor de cinéma, ça se mérite! Mais la patience et la ténacité sont vite récompensées : des couleurs éclatantes, des reliefs à couper le souffle, une lumière pure et franches... C'est confirmé: les Andes, je surkiffe! Mais puisqu'il parait que le poids des mots ne vaut pas le choc des photos, voici la preuve en images
Bon, 24h de vol, c'est quand même long et j'avoue que je ne suis pas mécontente de me poser sur la terrasse de l'appartement de Priscille et Jean-Christophe, sous un soleil printanier ma foi fort agréable. Ici, dans ce quartier mi-affaires, mi-résidentiel, on se croirait presque à La Défense, en mieux, et avec les Andes en toile de fond. Grandes tours de verre, petits parcs à la pelouse digne d'un gazon anglais... On est loin du cliché du sud américain avec son poncho coloré et son ocarina!
Un petit tour dans le quartier puis dans la partie historique confirme cette impression d'occidentalité, même si l'on devine très vite une société à deux vitesses, comme en témoignent les quartiers excentrés et très "bidonvilles" que l'on croise en arrivant de l'aéroport.
Pas le temps de souffler beaucoup : ce mercredi matin, départ à l'aube pour notre petite escapade andine. Direction : Calama, dans le nord du Chili, au coeur du désert d'Atacama, le plus aride au monde, ouis mesdames et messieurs, même plus aride que le Sahara, c'est dire! Et ça se remarque tout de suite à la descente d'avion : pas un brin d'herbe ne pousse sur cette terre dure, sèche et caillouteuse. Un paysage certes aride mais pourtant magnifique et majestueux, tout de montagnes découpées, de volcans et d'un ciel bleu limpide. Paysage que nous avons largement le temps d'admirer puisqu'il faudra tout de même 1h au loueur de voiture, et malgré une résa faite la veille, pour nous louer une voiture. Et encore! Pas celle qu'on avait commandée!
Une petite heure de route plus tard, nous posons nos valises à San Pedro, le petit village au coeur du désert d'où partent toutes les excursions. Rues en terre battue, éclairage minimal, restos de bric et de broc : cette fois c'est sûr, on n'est plus à Santiago!
Après un repas requinquant, nous décidons de nous attaquer à la vallée de la Mort (bin oui, nous sommes courageuses!) et à la vallée de la Lune. Le véritable challenge consiste à trouver ces endroits puisqu'apparemment, les panneaux de signalisation ne constituent pas une priorité ici...Bref, les paysages décor de cinéma, ça se mérite! Mais la patience et la ténacité sont vite récompensées : des couleurs éclatantes, des reliefs à couper le souffle, une lumière pure et franches... C'est confirmé: les Andes, je surkiffe! Mais puisqu'il parait que le poids des mots ne vaut pas le choc des photos, voici la preuve en images
Ah sympa d'avoir de tes nouvelles ! Chouette le désert d'Atacama.
RépondreSupprimerProfite bien !