Des montagnes russes émotionnelles, oui, rien que ça. C'est-à-dire qu'en trois jours, nous avons alterné entre les galères (pas graves heureusement), des paysages à couper le souffle, des moments de grâce et des repas sympathiques.
Bon, je commence par les galères car il paraît que c'est quand même le plus drôle.
>> J'aimerais dédier ce paragraphes aux responsables chiliens des ponts-et-chaussée : pourquoi, mais POURQUOI faites-vous l'économie de panneaux de signalisation, notamment dans les endroits touristiques. San Pedro, c'est le rendez-vous des routards et des touristes passionnés de montagne. Il semblerait donc logique que les principales attractions du coin soient un minimum fléchées, non? Eh bien NON! Il faut se contenter des explications souvent vague du guide de voyage pour espérer tomber finalement sur la vallée de la lune ou la laguna Cejar. Mais finalement, ce n'est sans doute pas le pire, car nous avons toujours fini par trouver notre chemin. Non, le pire, c'est quand ces joyeux drilles des ponts-et-chaussées décident... de mettre un panneau qui indique une FAUSSE direction. Oui, vous avez bien lu, une FAUSSE direction. Moralité : cet après-midi, deux heures et beaucoup de zénitude perdues pour avoir tourné au lieu de continuer tout droit.
>> Ce paragraphe est cette fois dédié au crétin en voiture rouge qui a reculé dans notre voiture de location sur un parking de la valle de la Luna. S'il a bien laissé une trace de peinture en plus d'un creux dans la carrosserie, il n'a pas jugé bon d'y ajouter un mot avec ses coordonnées. J'espère qu'à l'heure qu'il est, il s'est embourbé dans une dune de sable, joder !
>> Bon et sinon je sais pas ce qui m'arrive, la fatigue sans doute, j'ai réussi à perdre mes lunettes de soleil et à déchirer mon seul pantalon de randonnée dans la même journée, mais je pense que ça n'intéresse pas grand-monde!
Enfin, il y a quand même pas mal de hauts dans ces montagnes russes chiliennes : les lagunes et leurs flamands roses nous ont fait rêver hier, l'oasis de Jere et son verger totalement inattendu nous ont permis de déjeuner à l'ombre dans un décor de cinéma et, aujourd'hui, la quebrada del diablo nous a fascinées pas une brin d'herbe à l'horizon sur ce désert caillouteux et escarpé. Le tout à vélo histoire e se dégourdir un peu les jambes à 2500 mètres d'altitude!
Cerise sur le gâteau cet après-midi, après les 2h de voiture inutiles : les termes de Pirituma. Une oasis au milieu des montagnes à 3500 mètres d'altitude (souffle court à tous les coups), où l'eau est chaude! Se prélasser dans une eau à 34 degrés, entourée de montagnes et de verdure... Priceless!
Bon, je commence par les galères car il paraît que c'est quand même le plus drôle.
>> J'aimerais dédier ce paragraphes aux responsables chiliens des ponts-et-chaussée : pourquoi, mais POURQUOI faites-vous l'économie de panneaux de signalisation, notamment dans les endroits touristiques. San Pedro, c'est le rendez-vous des routards et des touristes passionnés de montagne. Il semblerait donc logique que les principales attractions du coin soient un minimum fléchées, non? Eh bien NON! Il faut se contenter des explications souvent vague du guide de voyage pour espérer tomber finalement sur la vallée de la lune ou la laguna Cejar. Mais finalement, ce n'est sans doute pas le pire, car nous avons toujours fini par trouver notre chemin. Non, le pire, c'est quand ces joyeux drilles des ponts-et-chaussées décident... de mettre un panneau qui indique une FAUSSE direction. Oui, vous avez bien lu, une FAUSSE direction. Moralité : cet après-midi, deux heures et beaucoup de zénitude perdues pour avoir tourné au lieu de continuer tout droit.
>> Ce paragraphe est cette fois dédié au crétin en voiture rouge qui a reculé dans notre voiture de location sur un parking de la valle de la Luna. S'il a bien laissé une trace de peinture en plus d'un creux dans la carrosserie, il n'a pas jugé bon d'y ajouter un mot avec ses coordonnées. J'espère qu'à l'heure qu'il est, il s'est embourbé dans une dune de sable, joder !
>> Bon et sinon je sais pas ce qui m'arrive, la fatigue sans doute, j'ai réussi à perdre mes lunettes de soleil et à déchirer mon seul pantalon de randonnée dans la même journée, mais je pense que ça n'intéresse pas grand-monde!
Enfin, il y a quand même pas mal de hauts dans ces montagnes russes chiliennes : les lagunes et leurs flamands roses nous ont fait rêver hier, l'oasis de Jere et son verger totalement inattendu nous ont permis de déjeuner à l'ombre dans un décor de cinéma et, aujourd'hui, la quebrada del diablo nous a fascinées pas une brin d'herbe à l'horizon sur ce désert caillouteux et escarpé. Le tout à vélo histoire e se dégourdir un peu les jambes à 2500 mètres d'altitude!
Cerise sur le gâteau cet après-midi, après les 2h de voiture inutiles : les termes de Pirituma. Une oasis au milieu des montagnes à 3500 mètres d'altitude (souffle court à tous les coups), où l'eau est chaude! Se prélasser dans une eau à 34 degrés, entourée de montagnes et de verdure... Priceless!
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