#Tu devrais aller a Petropolis, c est une tres jolie ville coloniale#, m avait on dit. Ce matin, j ai donc decide de braver la meteo morose (ah oui, va falloir qu on en parle de ca... Depuis quand il fait pas beau au Bresil?!) pour me rendre dans cette petite ville a 70 km de Rio.
Premier challenge, trouver la gare routiere. Ca n a l air de rien comme ca, mais il y en a plusieurs a Rio. Et evidemment mon Routard n etant pas a jour, je commence par me rendre dans la mauvaise. PAs de chance, c est finalement la gare routiere la plus excentree dans laquelle je dois me rendre. Voila un bien un truc que je n ai jamais compris. Si on se rend dans une ville en bus, c est bien, par definition, qu on n y va pas en voiture, non? Et qu on a donc tout interet a ce que le terminal de bus soit le plus central possible... L interet de l usager est visiblement un parametre que l on ne prend pas en compte dans les terminaux de bus sud americains. Moralite, pour me rendre a Petropolis, j ai depense 34 reals de bus aller-retour et... 53 reals de taxi, pour me rendre et revenir de la gare routiere! Ah j aurais bien aime prendre un bus pour y aller et en revenir... Mais ca, c est aleatoire! Surtout pour le retour ou l on n a pas specialement envie de trainer dans le coin...
Bref, arrivee a Petropolis rebelote, sauf que cette fois les bus locaux sont bien organises, mais il faut compter 30 bonnes minutes pour arriver en centre-ville. Surprise a la descente du bus. Petropolis est situee dans les montagnes et, parametres que j avais oublie de prendre en compte, il y fait donc beaucoup plus froid qu a Rio! Me voila donc en sandales dans une bruine a 10 degres.... Legerement deprimant! Heureusement que le charme de la ville ne met pas longtemps a operer. C est vrai que c est magnifique, Petropolis, entre les canaux, les petits ponts rouges qui les enjambent, les magnifiques maisons coloniales qui bordent les grandes avenues... On dirait presque un decor de film! C est la que l empereur portugais avait elu domicile quand il s etait fait ejecter par Napoleon, y a longtemps donc. La ville semble presque suspendue dans le temps et les caleches pour touristes ajoutent encore un peu au tableau. Finalement, meme les cheveux mouilles et les pieds transis de froid, Petropolis, le charme opere!
Premier challenge, trouver la gare routiere. Ca n a l air de rien comme ca, mais il y en a plusieurs a Rio. Et evidemment mon Routard n etant pas a jour, je commence par me rendre dans la mauvaise. PAs de chance, c est finalement la gare routiere la plus excentree dans laquelle je dois me rendre. Voila un bien un truc que je n ai jamais compris. Si on se rend dans une ville en bus, c est bien, par definition, qu on n y va pas en voiture, non? Et qu on a donc tout interet a ce que le terminal de bus soit le plus central possible... L interet de l usager est visiblement un parametre que l on ne prend pas en compte dans les terminaux de bus sud americains. Moralite, pour me rendre a Petropolis, j ai depense 34 reals de bus aller-retour et... 53 reals de taxi, pour me rendre et revenir de la gare routiere! Ah j aurais bien aime prendre un bus pour y aller et en revenir... Mais ca, c est aleatoire! Surtout pour le retour ou l on n a pas specialement envie de trainer dans le coin...
Bref, arrivee a Petropolis rebelote, sauf que cette fois les bus locaux sont bien organises, mais il faut compter 30 bonnes minutes pour arriver en centre-ville. Surprise a la descente du bus. Petropolis est situee dans les montagnes et, parametres que j avais oublie de prendre en compte, il y fait donc beaucoup plus froid qu a Rio! Me voila donc en sandales dans une bruine a 10 degres.... Legerement deprimant! Heureusement que le charme de la ville ne met pas longtemps a operer. C est vrai que c est magnifique, Petropolis, entre les canaux, les petits ponts rouges qui les enjambent, les magnifiques maisons coloniales qui bordent les grandes avenues... On dirait presque un decor de film! C est la que l empereur portugais avait elu domicile quand il s etait fait ejecter par Napoleon, y a longtemps donc. La ville semble presque suspendue dans le temps et les caleches pour touristes ajoutent encore un peu au tableau. Finalement, meme les cheveux mouilles et les pieds transis de froid, Petropolis, le charme opere!
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