Ca y est, j ai reussi a quitter Rio. Ce ne fut pas sans mal... J aurais pu contempler la baie de Rio encore des heures et des heures sans m en lasser je crois. Meme sous la pluie, hier, cette ville garde tout son charme, on n arrive meme pas a lui en vouloir de nous faire ca, a nous pauvres petites Europeens venus chercher le soleil dans un pays ou, parait il, il fait toujours beau! Il pleut mais le charme carioca continue d operer.
Bon, une fois dans le minibus direction Paraty, c est une autre histoire! 10 minutes apres le depart, l humidite est si importante que l on ne voit plus a travers la vitre. Pas si grave, ceci dit, vu que la bruine empeche de voir a trois metres! En chemin, je discute avec une famille argentine dont la mere est assise a cote de moi. Il y a plein d Argentins partout ici. Il fait froid chez eux, c est l hiver, alors ils viennent traditionnellement chercher le soleil au Bresil. Pour l instant, c est rate!
Nous atteignons le summum du desespoir au debarcadere pour Ilha grande. Abrites sous un mini auvent, nous prenons les trombes d eau en pleine face, attendant pour les uns le bateau pour l ile, pour les autres (dont moi) la navette pour Paraty. Glouglou.
Il pleut encore lorsque 1h45 plus tard nous atteignons enfin la petite ville coloniale. Peu importe : je decide de braver la pluie (je suis normande, apres tout, non?!) pour partir a la decouverte de cette charmante petite ville figee dans le temps (oui oui, encore une). C est qu a priori je compte repartir le lendemain, donc pas de temps a perdre.
Eh bien la, il se produit encore un truc dingue : il pleut, je suis trempee jusqu aux os, et pourtant le charme opere. Des petites rues aux paves irreguliers, des ponts en bois, des maisons blanchies a la chaux... C est tellement mignon qu on dirait un decor de cinema! A vrai dire c en est presque un. La beaute de Paraty, c est son capital tourisme. Le proprietaire de l auberge ou je dors me le confirmera : ici les gens vivent soit de la peche, mais de moins en moins, soit du tourisme. Qu a cela ne tienne : avec le mauvais temps, il y a finalement tres peu de gens dans les rues et je passe deux heures a me promener en toute tranquilite!
Evidemment, une fois rentree, je realise que j avais garde mon sac a dos sur les epaules... Et que l integralite de ce qui se trouvait a l interieur est trempe. Mon Routard et mon polar sont donc en train de secher tranquillement sur l echelle de mon lit superpose!
Bon, une fois dans le minibus direction Paraty, c est une autre histoire! 10 minutes apres le depart, l humidite est si importante que l on ne voit plus a travers la vitre. Pas si grave, ceci dit, vu que la bruine empeche de voir a trois metres! En chemin, je discute avec une famille argentine dont la mere est assise a cote de moi. Il y a plein d Argentins partout ici. Il fait froid chez eux, c est l hiver, alors ils viennent traditionnellement chercher le soleil au Bresil. Pour l instant, c est rate!
Nous atteignons le summum du desespoir au debarcadere pour Ilha grande. Abrites sous un mini auvent, nous prenons les trombes d eau en pleine face, attendant pour les uns le bateau pour l ile, pour les autres (dont moi) la navette pour Paraty. Glouglou.
Il pleut encore lorsque 1h45 plus tard nous atteignons enfin la petite ville coloniale. Peu importe : je decide de braver la pluie (je suis normande, apres tout, non?!) pour partir a la decouverte de cette charmante petite ville figee dans le temps (oui oui, encore une). C est qu a priori je compte repartir le lendemain, donc pas de temps a perdre.
Eh bien la, il se produit encore un truc dingue : il pleut, je suis trempee jusqu aux os, et pourtant le charme opere. Des petites rues aux paves irreguliers, des ponts en bois, des maisons blanchies a la chaux... C est tellement mignon qu on dirait un decor de cinema! A vrai dire c en est presque un. La beaute de Paraty, c est son capital tourisme. Le proprietaire de l auberge ou je dors me le confirmera : ici les gens vivent soit de la peche, mais de moins en moins, soit du tourisme. Qu a cela ne tienne : avec le mauvais temps, il y a finalement tres peu de gens dans les rues et je passe deux heures a me promener en toute tranquilite!
Evidemment, une fois rentree, je realise que j avais garde mon sac a dos sur les epaules... Et que l integralite de ce qui se trouvait a l interieur est trempe. Mon Routard et mon polar sont donc en train de secher tranquillement sur l echelle de mon lit superpose!
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