Puisque le prochain envol n'est prévu que dans deux mois et un jour, je tente un léger retour en arrière. Eté 2008 : je fais le grand écart entre l'Ecosse, la Grèce puis l'Albanie et le Monténégro. Ah, l'Ecosse! Dépaysement et grands espaces assurés. De même que la pluie. Mais, et je ne dis pas ça pour tenter de dissiper une certaine frustration, non, vraiment les gros nuages noirs rajoutent au mystère et à la beauté du paysage. Si. Ici, la forteresse de Dunnotar, sur la côté Est, entre Dundee et Aberdeen.
Le charme et l'inconvénient de l'Ecosse, c'est son aspect... Sauvage. Des paysages magnifiques et complètement préservés... Auxquels on n'accède qu'en voiture ! Deux solutions : pour les plus fortunés, la location d'un véhicule semble le meilleur choix. Attention, conduite à gauche... Faut s'y faire! Pour les autres... Le stop. Ca marche plutôt bien, mais cela reste aléatoire, même si les Ecossais sont particulièrement accueillants.
Je n'ai pas vu le fameux monstre du Loch Ness. Mais la visite du château sur les berges du Loch vaut vraiment le détour. Le point de vue sur le lac est impressionnant. Le soir, vous pouvez dormir à Inverness, une charmante petite ville située juste à côté et qui tire largement profit de la mondialement célèbre légende.
Les auberges de jeunesse sont bon marché, de même que les petits restos et les bars, situés notamment le long de la rivière (agréable promenade!)
Autre étape incontournable du voyage : l'île de Skye. Bon, je l'ai vue sous une pluie battante mais deux ans après, je garde encore un souvenir ému de ces magnifiques paysages, dignes des romans de Cronin et Daphné du Maurier : hautes falaises, pluie et vent.
Bref : les éléments se déchaînent et pour peu qu'on s'éloigne un peu de la route principale, on vite l'impression d'être seul au monde. Attention par contre, car les téléphones ne captent pas toujours. Cette impression de solitude étant souvent fondée, mieux vaut faire une révision complète de son véhicule avant le départ, histoire de ne pas rester en rade au milieu des moutons.
Car oui, ce n'est pas qu'une légende, vaches et moutons se promènent en totale liberté sur l'île. Vous n'êtes donc pas à l'abri d'une rencontre impromptue avec l'un (ou plusieurs, puisqu'ils ont la fâcheuse habitude de se promener en troupeau !) de ces ruminants, charmants au demeurant, mais quelque peu encombrants (et lents) sur la route.
A Portree, n'oubliez pas d'aller commander un fish and chips dans la petite rue aux maisons multicolores qui donne sur le port. C'est gras, la boutique ne ressemble à rien mais... Qu'est-ce que c'est bon! Et pas cher avec ça. Vous pourrez les manger dans la salle commune de votre auberge de jeunesse. A noter qu'il est par ailleurs préférable d'y réserver un lit car il n'y a que deux auberges (du moins aux dernières nouvelles) et vous risquez de vous retrouver homeless. Eviter le dortoir de douze lit où règne une franche odeur de pieds.
Le charme et l'inconvénient de l'Ecosse, c'est son aspect... Sauvage. Des paysages magnifiques et complètement préservés... Auxquels on n'accède qu'en voiture ! Deux solutions : pour les plus fortunés, la location d'un véhicule semble le meilleur choix. Attention, conduite à gauche... Faut s'y faire! Pour les autres... Le stop. Ca marche plutôt bien, mais cela reste aléatoire, même si les Ecossais sont particulièrement accueillants.
Je n'ai pas vu le fameux monstre du Loch Ness. Mais la visite du château sur les berges du Loch vaut vraiment le détour. Le point de vue sur le lac est impressionnant. Le soir, vous pouvez dormir à Inverness, une charmante petite ville située juste à côté et qui tire largement profit de la mondialement célèbre légende.
Les auberges de jeunesse sont bon marché, de même que les petits restos et les bars, situés notamment le long de la rivière (agréable promenade!)
Autre étape incontournable du voyage : l'île de Skye. Bon, je l'ai vue sous une pluie battante mais deux ans après, je garde encore un souvenir ému de ces magnifiques paysages, dignes des romans de Cronin et Daphné du Maurier : hautes falaises, pluie et vent.
Bref : les éléments se déchaînent et pour peu qu'on s'éloigne un peu de la route principale, on vite l'impression d'être seul au monde. Attention par contre, car les téléphones ne captent pas toujours. Cette impression de solitude étant souvent fondée, mieux vaut faire une révision complète de son véhicule avant le départ, histoire de ne pas rester en rade au milieu des moutons.
Car oui, ce n'est pas qu'une légende, vaches et moutons se promènent en totale liberté sur l'île. Vous n'êtes donc pas à l'abri d'une rencontre impromptue avec l'un (ou plusieurs, puisqu'ils ont la fâcheuse habitude de se promener en troupeau !) de ces ruminants, charmants au demeurant, mais quelque peu encombrants (et lents) sur la route.
A Portree, n'oubliez pas d'aller commander un fish and chips dans la petite rue aux maisons multicolores qui donne sur le port. C'est gras, la boutique ne ressemble à rien mais... Qu'est-ce que c'est bon! Et pas cher avec ça. Vous pourrez les manger dans la salle commune de votre auberge de jeunesse. A noter qu'il est par ailleurs préférable d'y réserver un lit car il n'y a que deux auberges (du moins aux dernières nouvelles) et vous risquez de vous retrouver homeless. Eviter le dortoir de douze lit où règne une franche odeur de pieds.
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